Et si cette année, au lieu de célébrer la fête des Pères à l’école, on profitait de l’occasion pour ouvrir une discussion sur les liens qui nous construisent, sur les figures parentales atypiques, sur une parentalité plus marginalisée, sur les liens parentaux plus discrets, mais qui nourrissent notre sentiment d’appartenance? Et si, surtout, on sortait des classiques comme de la carte en forme cravate ou de marteau, des pots d’épices à barbecue ou du fameux acrostiche du mot «papa» ?